10 ans après la loi ESS, développer le pouvoir transformateur de l'ESS
Prises de parole en introduction
• Olivia Grégoire, Ministre déléguée chargée des Petites et Moyennes Entreprises, du Commerce, de l’Artisanat et du Tourisme (sous réserve)
• Pascal Michard, Président d'Aéma Groupe
• Adrien Couret, Directeur Général d’Aéma Groupe (vidéo)
• Jérôme Saddier, Président d’ESS France.
Tables rondes :
Séquence 1 : Quel bilan pour la loi ESS ?
La loi du 31 juillet 2014 sur l’ESS demeure l’œuvre législative française la plus aboutie en matière d’ESS, et qui fait même école en Europe et dans le monde. Cette loi a permis à la fois de reconnaître l’ESS comme « mode d’entreprendre et de développement économique », de définir des principes communs et innovants de gestion et de gouvernance d’entreprise, et d’en faire un véritable objet de politiques publiques.
Par-delà ces analyses, les objectifs fixés de changement d’échelle de l’ESS ont-ils été atteints ? Quelles questions demeurent ouvertes, 10 ans après l’adoption de la loi ?
Séquence 2 : Développer le pouvoir transformateur de l'ESS
L’ESS est un mode d’entreprendre, mais plus encore, un mode de développement économique, dont les finalités et les principes de gestion la distinguent de l’économie conventionnelle et lui confèrent un véritable pouvoir transformateur. Authentique « utopie réalisée », il serait largement justifié de placer l’ESS au centre des politiques publiques de planification, alors même que l’absence d’une telle démarche a pu conduire à des choix regrettables et des occasions manquées: virages écologiques insuffisamment engagés, impasses des modèles lucratifs dans les secteurs de la petite enfance et de la longévité...
Comment concrètement développer ce pouvoir transformateur, via l’adoption d’une stratégie de développement de l’ESS à la hauteur de ses réalisations et potentialités ?